Court métrage d'animation de Jean Marc Rohart
"L'harmonie cosmique"
L'harmonie cosmique a été sélectionnée pour le DVD "génération animée" réalisé par la direction de la coopération culturelle et du français pour le ministère des affaires étrangères et européennes.
Une très belle analyse du film par Bartlomiej Woznica de l'agence du court métrage.
festivals et prix pour l'harmonie cosmique
Festivals
Festival international du film d’animation d’Annecy.
Festival Vidéoforme de Clermont-Ferrand.
Festival des 24 courts - Le Mans.
Festival Récréacourt de Montreuil.
Festival Courts dans la ville.
Prix
Prix du jury, festival des 24 court - Le Mans.
Prix du public, festival des 24 court - Le Mans.
Prix du meilleur court métrage festival Récréacourt - Montreuil.
Grand prix du jury, festival «Courts dans la ville».
Prix du public, festival «Courts dans la ville».
Achats
Achat par Canal+Famille.
Achat par BeTV.
L'harmonie cosmique a également été sélectionnée pour l’édition du coffret «génération animée» commandé par le Ministère des Affaires étrangères avec le concours de l'Agence du Court Métrage et du CAVILAM.
Projection à l’institut Franco Portugais de Lisbonne.
propos critique - l'harmonie cosmique
" Se glissant tour à tour dans la peau d’un enfant qui gambade dans la galerie d’un musée, ou de l’amoureux éperdu de peinture qui s’en met « plein les mirettes », jouant au professeur qui recrée un autoportrait de Rembrandt sur le tableau noir de son érudition, sans oublier son invention du merveilleux « Roux-Brun des Bois » qui va voler des éclats d’art pour les redistribuer à tous… Jean-Marc Rohart est surtout un magicien de la palette graphique, qui permet aux spectateurs de son film « d’entrer dans les peintures » des grands maîtres, de la manière la plus ludique et la plus poétique qui soit ! "
Emmanuelle Costet
à propos de la série "histoire de l'art"
"De l’assertion « chacun peut inventer sa propre manière de voir l’art »… à la proposition "c’est la manière de regarder qui est une œuvre d’art…" Jean-Marc Rohart, amoureux fou de peinture, entraîne le spectateur de son film dans une visite ludique d’un « Louvre » imaginaire reliant Rembrandt à Dubuffet, en passant par Gaugin et Munch… son trait imaginatif et virtuose à la palette graphique nous permettant alors littéralement « d’entrer dans les œuvres », tout en jouant malicieusement avec les codes de l’érudition artistique et de la poésie la plus débridée…"
Emmanuelle Costet